25 novembre 2021 – La Défense américaine a publié un communiqué mardi. Ce bureau remplace les forces spéciales sur les phénomènes aériens non identifiés de la Marine américaine.
Désormais, place au Groupe d’identification et de gestion des objets volants (Airborne Object Identification and Management Synchronization Group), annonce Kathleen Hicks, secrétaire adjointe de la Défense. Il sera sous la direction du secrétaire de la Défense et en collaboration avec la direction du Renseignement américain.
La mission de ce groupe d’identification est bien sûr de repérer et d’identifier des objets qui pourraient représenter une menace pour la sécurité nationale.
UN ENJEU NATIONAL
“L’intrusion de n’importe quel objet volant dans notre espace aérien à statut spécial pose des inquiétudes sur la sûreté des vols et des opérations de sécurité, et pourrait nous imposer des défis de sécurité à l’échelle nationale”, développe le communiqué. “Le département de la Défense traite les signalements de ces intrusions […] avec beaucoup de sérieux, et enquête sur chaque cas”.
Dans les semaines à venir, le Pentagone donnera plus de détails sur les modalités de cette nouvelle entité. Nous en saurons plus sur sa structure, sa composition et ses moyens.
LES OVNIS DE PLUS EN PLUS PRIS AU SÉRIEUX
Depuis le rapport du Pentagone publié au mois de juin qui confirme la présence des OVNIs, les choses semblent s’accélérer. Bill Nelson, le chef de la NASA, avait affirmé lors du Center of Politics du mois dernier que rien n’était exclu concernant les phénomènes aériens non identifiés et qu’il espérait que ceux-ci ne soient pas terriens.
NASA chief Bill Nelson talks UFOs and ET life pic.twitter.com/LxliNkP76M
— Unidentified Aerial Phenomena (@UAP1949) October 23, 2021
Plus récemment, Avril Haines, directrice du renseignement américain demandait que des infrastructures plus conséquentes soient mises en place pour étudier le phénomène OVNI. Elle supervise seize agences d’espionnage, dont le FBI et la CIA. Elle a fait comprendre que la piste extraterrestre était envisageable.
Tom Hannane (rédaction btlv.fr)