4 mars 2025 – Une vidéo intrigante a fait le buzz sur le net. Enregistrée dans une forêt du Maine aux Etats-Unis, elle montre une série d’empreintes de pas de grande taille découvertes dans une forêt recouverte de neige qui laissent imaginer la présence d’un Bigfoot.
Comme on pouvait s’y attendre, ces empreintes ont suscité des spéculations, certains croyant qu’elles pourraient être attribuées à un Bigfoot, le légendaire homme sauvage. Ces empreintes énigmatiques ont été découvertes à la mi-février par Stephen Bartlett, sur son terrain dans le comté de York.
Malgré les conditions météorologiques difficiles dues à une tempête de neige, il a pris le temps de filmer les empreintes avec son smartphone. Par la suite, il a transmis ses observations à la BFRO (ndlr : Bigfoot Field Researchers Organization). Cette dernière a missionné l’enquêteur Ontario Richardson pour examiner ce phénomène mystérieux.
UN BIGFOOT AUX GRANDES JAMBES
Ontario Richardson a constaté que les empreintes étaient distantes de 2m20 à 2m40 l’une de l’autre et s’étendaient sur environ 45 mètres avant de devenir indistinctes. Il a noté que seules quelques centimètres de neige recouvraient les empreintes, suggérant que l’entité qui les avait laissées était passée récemment, mais sans suffisamment de preuves pour identifier clairement l’auteur des empreintes.
Matt Moneymaker, le créateur de la BFRO, a partagé des détails de cette affaire sur les réseaux sociaux. Il a soutenu que les empreintes ne pouvaient pas être attribuées à un animal ordinaire tel qu’un élan ou un lapin, ni à un être humain. Il a donc conclu que ces empreintes étaient de véritables traces du Bigfoot dans la neige. Face à ceux qui doutaient que les empreintes aient été laissées par la légendaire créature arguant que les branches du chemin n’avaient pas été complètement brisées par l’animal, Matt Moneymaker a répondu en suggérant que les branches s’étaient pliées au lieu de se casser lors de son passage.
Dans son analyse du cas sur le site de la BFRO, il a proposé que les empreintes se trouvaient dans une zone dégagée, car le cryptide savait que la neige allait bientôt les recouvrir, ce qui le protégerait des humains. Pour ne rien louper de l’actualité liée à la cryptozoologie, inscrivez-vous à la newsletter btlv.
Bob Bellanca (rédaction btlv source BFRO)
