14 juin 2021 — Dans le Colorado, une touriste participant à un Ghost tour à l’hôtel Stanley, pense qu’elle a peut-être pris la photo d’un esprit s’attardant à la fenêtre d’une des chambres de l’établissement. L’hôtel, qui a inspiré le décor du classique de Stephen King, « Shining », abriterait de nombreux esprits. Ayant vu que l’établissement proposait des visites nocturnes, Kim Kimberly, réserva sa place tout en espérant y voir un fantôme et elle n’a pas été déçu. Sur la photo ci-dessous, postée sur le twitter de CBS Denver, on aperçoit bien la silhouette d’une femme à l’une des fenêtres de l’hôtel emblématique.
Woman In The Window? Stanley Hotel Visitor Captures Unexplained Image During ‘Ghost Tour’ https://t.co/kmF4svr2NL pic.twitter.com/g5MCdYRa6V
— CBSDenver (@CBSDenver) June 11, 2021
Comme c’est si souvent le cas avec les photos de fantômes, dans un premier temps, Kim Kimberly n’a pas remarqué l’anomalie jusqu’à ce qu’elle regarde plus tard ses prises de vues réalisées lors de son excursion et a été stupéfaite par ce qu’elle a vu : « Il n’y avait personne aux fenêtres quand j’ai pris ces photos, mes amis prenaient aussi des photos et, comme moi, ils ne l’ont pas vu non plus ». Suite à la diffusion de l’image sur twitter, certains internautes ont suggéré que ce n’était peut-être qu’un jeu d’ombres et de lumières créé par les rideaux. Devant une telle explication la jeune femme a exprimé son scepticisme, arguant que toutes les fenêtres ont les mêmes rideaux et que rien n’y apparaît, tout en rajoutant : « si c’était des rideaux, quelle est la zone sombre qui ressemble à des cheveux et la couleur de la peau ?, cela ne peut pas être une ombre ». Kim Kimberly a également rejeté la possibilité que la silhouette aperçue ait pu être un mannequin, affirmant qu’elle aurait remarqué une telle chose à la fenêtre lorsqu’elle a pris la photo. Par ailleurs, elle a pris deux photos au même moment et elle souligne que la silhouette n’apparaît que sur l’une d’elles. Sans aucune possibilité de trouver une explication rationnelle, le doute reste permis.
Bob Bellanca (rédaction btlv.fr)