21 janvier 2021 — Lorsque des archéologues iront fouiller le sol de la Lune, ils risquent de découvrir des restes de Dinosaures. Vous ne rêvez pas, certains experts en sont persuadés. Bien évidemment, les mastodontes préhistoriques n’ont jamais foulé de leur vivant le satellite de la Terre. Mais il existe une théorie selon laquelle des fragments d’os de dinosaures pourraient être découverts sur la Lune.
L’extinction des dinosaures suscite encore beaucoup de controverses et de questions dans le monde scientifique. Et certaines théories concernant cet événement semblent complètement folles!
C’est l’hypothèse avancée par l’écrivain scientifique Peter Brannen dans son livre «The Ends of the World: Volcanic Apocalypses, Lethal Oceans, and Our Quest to Understand Earth’s Past Mass Extinctions » Sa théorie a suscité l’attention du blogueur Matt Austin, qui a récemment publié un extrait du livre sur son compte twitter.
This description of the asteroid that killed the dinosaurs is probably the best piece of writing I’ve read in a while. That was beautiful. pic.twitter.com/13iLrLrMe2
— Matt Austin (@BitsHammer) January 2, 2019
L’ASTÉROÏDE TUEUR DE DINOSAURES
L’extrait publié décrit l’impact d’un astéroïde qui s’est crashé sur la Terre il y a 66 millions d’années, et qui a créé un comme un trou dans l’atmosphère. Cela a propulsé en orbite des débris de la Terre, et ainsi des cadavres de dinosaures ont été satellisés et ont eu la possibilité de s’échouer sur la Lune. Cela a fait voler des débris de la Terre en orbite, et les «morceaux de dinosaures» peuvent s’être mélangés avec le reste des débris projetés dans l’espace, qui se sont ensuite installés sur la Lune.
Dans le livre de Brannen, sa théorie est soutenue par le géophysicien Mario Rebolledo. Cependant, la science ne peut pas encore confirmer cette hypothèse. Pour le moment, les scientifiques savent que l’astéroïde qui a détruit les dinosaures a laissé un cratère de 193 kilomètres de large dans la zone sinistrée, détruisant la roche et projetant des milliards de tonnes de soufre et de dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Toute la vie dans un rayon de centaines de kilomètres du lieu de la collision a brûlé en quelques minutes. Pendant ce temps, un nuage de poussière de l’impact a bloqué les rayons du soleil, déclenchant vraisemblablement un «hiver nucléaire» avec des températures en baisse et des pluies acides. Dans ces conditions, 75% des espèces vivantes ont été détruites. «Vous auriez eu l’impression que le sol sous vos pieds était devenu un navire au milieu de l’océan», a déclaré le professeur de sciences de la Terre et de l’espace Mark Richards à l’Université de Washington. C’est ainsi que l’on peut imaginer facilement comment se déroule une fin du monde.
François Deymier (rédaction btlv.fr)