24 juin 2024 – Entre 1950 et 1980 il n’était pas rare d’entendre les témoins d’observations d’OVNIs dire avoir reçu des menaces de la part de Men in black. Des agents du gouvernement qui menaçaient, de représailles sévères, chaque témoin s’ils racontaient ce qu’ils avaient vu.
Si les Men in black ont changé de costume, ils semblent être toujours dans les parages. Luis Elizondo, ancien chef de l’unité d’enquête sur les OVNIs du Pentagone, affirme que les lanceurs d’alerte comme lui ne sont pas en sécurité. Ce dernier l’a découvert lui-même après avoir démissionné du programme secret d’identification avancée des menaces aériennes du Pentagone en 2017.
ÉTUDIER LES OVNIs SERAIT DANGEREUX
Dans le programme TV « The Good Trouble Show », il a récemment révélé que plusieurs des personnalités, “anciennement associées au gouvernement américain” et travaillant sur le dossier OVNIs, avaient été menacées. Il a rajouté que si quelque chose de suspect lui arrivait, les gens sauraient qui en était responsable.
“Je voudrais que cela soit parfaitement clair pour le peuple américain”, a-t-il déclaré. “Je ne suis pas sujet aux accidents. Je ne suis pas suicidaire. Je n’abuse pas de drogues. Je ne me livre à aucune activité illicite…Si quelque chose m’arrive à moi ou aux membres de ma famille à l’avenir, vous saurez ce qui s’est passé.”
Une déclaration qui va dans le sens de celle d’une autre personnalité éminente du dossier OVNIs, Tim Burchett. Fervent partisan de la divulgation des ovnis qui se trouve également être un ami de Luis Elizondo dit avoir également reçu des menaces. Pascal Fechner en avait parlé dans sa revue de presse dans la Libre antenne btlv.
“Il existe une protection des lanceurs d’alerte, mais c’est une blague…nous savons tous que c’est une blague”, a-t-il déclaré à Fox News .
“Lou est un de mes chers amis, et je prends au sérieux toute menace contre qui que ce soit, en particulier contre des amis et quelqu’un qui a tant donné à ce pays et à ce problème…Donc, j’en suis très conscient et je suis en alerte…Je recherche toutes les voies possibles pour aller au fond des choses.”
Bob Bellanca (rédaction btlv)
