14 octobre 2024 – Il nous arrive régulièrement d’évoquer le rêve lucide lors d’émissions sur les « états modifiés de conscience ». Certains témoins disent être les acteurs conscients de leurs rêves.
Si cela semble déjà une prouesse, une entreprise de neurotechnologie, la start-up californienne REMSpace, souhaitant aller plus loin, affirme avoir réalisé la toute première communication basée sur les rêves.
Cette jeune société développe actuellement une technologie pour améliorer ou induire le rêve lucide, et selon certaines informations, elle aurait réussi, pour la première fois, à établir une communication bidirectionnelle entre deux individus endormis par le biais de leurs rêves.
Pour le moment, aucun détail sur l’équipement utilisé fut révélé, mais l’expérience aurait vu les deux participants communiquer depuis des endroits différents en étant reliés à un appareil spécialement conçu comprenant des serveurs informatiques, une connexion Wi-Fi et un équipement de détection non spécifié.
« Hier, communiquer dans les rêves semblait relever de la science-fiction », a déclaré le PDG Michael Raduga, « Demain, ce sera si courant que nous ne pourrons plus imaginer notre vie sans cette technologie…Cela ouvre la voie à d’innombrables applications commerciales, remodelant notre façon de penser la communication et l’interaction dans le monde du rêve ».
DES RÉSULTATS SUR CE TYPE DE RÊVES RESTENT A CONFIRMER
Pour le moment, aucune application publique n’est envisagée, les résultats de l’expérience doivent encore être vérifiés de manière indépendante. Toutefois, si cette technologie arrive à réellement voir le jour, communiquer à distance dans les rêves sera révolutionnaire.
Les chercheurs de REMSpace se concentrent sur le rêve lucide, qui est une forme de rêve où l’expérimentateur est capable de contrôler ce qui se passe, presque comme s’il participait à un film interactif. C’est ce qu’essaye de mettre en place de façon pérenne l’entreprise. Pour ne rien louper de l’actualité sur les états modifiés de conscience, inscrivez-vous à la newsletter btlv.
Bob Bellanca (rédaction btlv)
