23 octobre 2020 — Marcahuasi est un plateau dans la cordillère des Andes. Sa superficie est de 4km2 à 4000m d’altitude à 80 KM de Lima, la capitale du Pérou. Il est formé de structures géologiques (rochers de formes “humaines” ou animaux), taillées selon les légendes par le temps, des sorciers, des dieux ou des extraterrestres. On y retrouve aussi des ruines préincas (habitations et chullpas).
Ce site avait été fortifié, il y a plus de deux mille ans par les Huancas, anciens habitants du Pérou. On sait de nos jours que les extraordinaires monuments invisibles qu’elle recèle sont les plus antiques que des sociétés humaines aient édifiés.
Aucune datation précise n’a pu être effectuée jusqu’à ce jour. Cependant, si l’on se réfère aux indices géologiques, on peut admettre que l’origine des images de pierre du Marcahuasiserait millénaire.
Le livre de Pierre Carnac L’histoire commence à Bimini consacre un chapitre au plateau de Marcahuasi et à d’autres lieux présentant des sculptures monumentales réalisées sur des rochers à partir de formes naturelles. Il rapproche un escalier taillé dans la roche, qui ne monte nulle part, à celui en grès du Paradis de Bohème, le Českýráj, en Tchécoslovaquie, qui lui aussi s’élance vers le ciel. Il estime que cette culture très ancienne est peut-être à rattacher à celle du plateau submergé de Bimini, aux Bahamas, et à ses constructions cyclopéennes.
Tous ceux qui ont visité ce site découvert par Daniel Ruzo, estiment que ces pierres ont été sculptées de mains d’homme suivant une technique qui nous est absolument inconnue.

Les étranges sculptures de Marcahuasi
PRÉSENCE EXTRATERRESTRE OU ANCIENNE CIVILISATION
Pour Daniel Ruzo, le Marcahuasi paraît avoir été l’endroit où pour la première fois, l’humanité a commencé à symboliser, sous forme de statues de pierre, ses rêves, ses aspirations et ses dieux.Le mystique péruvien Pedro Astate, mort en 1940, a parlé lui-même, dès 1925, du plateau sacré. Il avait remarqué dans la Bible, des passages qui lui paraissaient avoir trait à ce coin perdu de la cordillère des Andes…La « Cabezadel Inca », cette tête dont les yeux fixent les étoiles, nous montre certainement que ces messages laissés sous forme de pétroglyphes s’adressaient à des divinités oubliées.
La ville préinca de la base de Marcahausi, San Pedro de Casta, utilise encore le système d’irrigation par eau créé il y a des siècles.
François Deymier (rédaction btlv.fr)