6 décembre 2022 – Une interview de 2013 d’un ancien agent de la CIA qui prétendait avoir une connaissance importante de la zone 51 a refait le buzz cette semaine.
L’homme de 77 ans, que l’on appelait « Agent Kewper » ou simplement « The Anonymous », avait accepté une interview de l’ufologue Richard Dolan et du réalisateur de documentaires Jeremy Corbell, que nous avons reçu plusieurs fois sur btlv.fr.
L’agent Kewper interviewé par Richard Dolan / crédit image Jeremy Corbell
À l’époque, l’entretien avait été décrit comme une interview confession sur « lit de mort ». De ce qu’il savait de ce qui se passait dans la zone 51.
En 1998, l’homme avait déjà accordé une interview à la journaliste Linda Moulton Howe qui avait enregistré 11 heures de bandes audio. Apprenant la rencontre avec la journaliste, il avait été averti par la CIA de ne rien divulguer d’autre.
EN 2013 IL A DÉCIDÉ DE TOUT DIRE
L’agent Kewper n’a accepté l’entretien en 2013 que parce qu’il était en train de mourir et qu’il estimait qu’il n’avait plus rien à perdre. Au cours de la discussion, il a affirmé que les extraterrestres étaient réels, que la base abritait un certain nombre de véhicules extraterrestres et qu’il y avait été emmené lui-même pour examiner un certain nombre d’artefacts (y compris la soucoupe qui s’est écrasée à Roswell, Nouveau-Mexique).
Il est même allé jusqu’à dire qu’il y avait des extraterrestres vivants détenus dans l’installation « S4 » de la base.
« Cela nous a pris entre 20 et 25 km au sud pour arriver jusqu’à l’installation S4. Il y avait différentes portes de garage, et dans ces hangars, ils avaient différents engins de soucoupe », a-t-il déclaré.
« Le tout premier abritait le vaisseau de Roswell qui s’est écrasé mais apparemment, tous les extraterrestres qui s’y trouvaient sont morts sauf quelques-uns… le vaisseau de Roswell était vraiment étrange parce qu’il ressemblait à une feuille d’aluminium très lourde ».
« Nous pouvions marcher à côté et le tout pesait probablement 60 à 130 kilos… À S4, nous avons visionné le film de l’autopsie, puis le colonel a dit que nous étions en train d’interviewer un extraterrestre gris ».
« Nous ne savions pas si nous allions voir l’extraterrestre, nous n’avons vu que le film…Il n’avait pas l’air humain en ce qui concerne le teint de la peau et son corps. La taille n’était pas celle d’un humain normal ».
Que dire devant un tel témoignage ? Qu’en penser ? De telles révélations paraissent surréalistes mais la question que l’on doit se poser est : Quel fut son intérêt à délivrer de telles informations ? L’argent ? À ce jour on ne sait pas s’il en a touché et au crépuscule de sa vie on se demande bien ce qu’il aurait pu en faire.
En 10 saisons de btlv, l’intérêt du témoignage reste la chose la plus troublante pour nous. Souvent moquées ou traitées d’escrocs, on se pose la question de savoir pourquoi certaines personnes éprouvent tout de même le besoin de parler : La vérité ? On ne le saura pas encore…
Bob Bellanca (rédaction btlv.fr Source The Mirror)
