(ESPACE) En 1967 des OVNIS auraient désactivé des missiles nucléaires

19 octobre 2020 — Depuis l’avènement du nucléaire dans nos armées et dans nos énergies, on observe un survol des sites de lancement de missiles ou des centrales. On se rappelle qu’en 2014, en quatre mois, les deux tiers des 19 centrales nucléaires de l’hexagone furent survolés à plusieurs reprises par des objets volants non identifiés. Et elles ne furent pas les seules. Dans la nuit du 26 et 27 janvier, la base militaire de l’île Longue, dans la rade de Brest, qui abrite les quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engins français fut elle aussi survolée. Le 31 octobre 2014, entre 18 heures et 22 heures les centrales de Saint-Laurent-des-Eaux (Loir-et-Cher), Dampierre en Burly (Loiret), Belleville-sur-Loire (Cher), Fessenheim (Haut-Rhin), Flamanville (Manche) et Penly (Seine-Maritime) furent, elles aussi, victimes du même incident. Cette année-là, Claude Lavat interrogé par notre rédaction relatait la vague de ce qu’il baptisa les « Drovnis ».Terme qui fait référence à l’explication de ses survols par le gouvernement disant qu’il s’agissait de drones amateurs. L’histoire montre toutefois qu’avant les drones, des sites dits sensibles furent le théâtre d’évènements qui auraient pu dramatiques.

C’est le cas à Malmstrom dans le Montana. On est le 25 mars 1967, Robert Salas, officier lanceur de missile sur cette base aérienne est responsable de la surveillance, de la manipulation et d’un éventuel tir de missile nucléaire. L’officier dirige les opérations depuis un des sites de lancement de missiles de la base, qui s’appelle le site Oscar.Ce soir-là, alors qu’il se trouve dans la salle de contrôle souterraine située à 20 mètres sous terre, il reçoit un coup de fil énigmatique. Un des gardes lui dit qu’il voit d’étranges lumières dans le ciel. D’après le militaire à l’autre bout du téléphone, les mouvements de ces lumières sont inhabituels. Il dit qu’il n’a jamais vu de sa vie et que cela ne ressemble pas du tout à ceux d’un avion. Dans un premier temps,Robert Salasne prend pas vraiment ça au sérieux, mais 5 minutes plus tard, le même garde le rappelle, paniqué. Le jeune militaire dit observer un énorme objet volant juste au-dessus de la barrière d’entrée du site OSCAR.L’engin mesure une trentaine de mètres de diamètre, est en position stationnaire et émet une lumière rouge par intermittence, le tout sans aucun bruit.Cette fois, Robert Salas prend très au sérieux cet appel et avertit son supérieur.

MISSILES DÉSACTIVÉS

Ce qui va affoler Robert Salas, c’est qu’au même moment tous les missiles du site de lancement « Oscar » sont désactivés et se mettent en position « No go » autrement dit « hors service ». Les témoins voient toutes les lumières s’éteindre les unes après les autres, c’est la panique. De mémoire de militaire, personne n’a jamais vu deux missiles tomber en panne en même temps sur la base. Cette fois, il s’agit de 10 missiles. Cela semble impensable d’autant qu’il n’y a aucune explication à cela. En pleine guerre froide, les responsables de la base pensent immédiatement à une attaque étrangère. Un inquiétude compréhensible quand on sait chaque missile peut détruire n’importe quelle capitale en moins de 30 minutes. Le raccourci est facile à faire, une bonne partie de l’Amérique peut tout simplement être rayée de la carte du monde.

INTRUSION

Alors que Robert Salas assiste à tous ces évènements depuis la salle de contrôle, l’alarme s’enclenche. Une intrusion est en cours sur la piste de lancement des missiles à 12 km de là. Quel est cet engin ? D’où vient-il ? Qui le pilote ? Pour trouver des réponses, le lieutenant envoie une patrouille pour identifier la menace sans donner plus de détails.

 

ARRIVÉE SUR LES LIEUX

Une fois sur place la patrouille aperçoit un engin en vol stationnaire juste au-dessus des silos des missiles. On pense inévitablement à une catastrophe nucléaire. L’objet volant non identifié est rond, d’une trentaine de mètres, et est en vol stationnaire. Les témoins raconteront que l’engin en question serait resté ainsi quelques instants, et que tout à coup, il aurait disparu à toute vitesse sans faire aucun bruit. Les militaires sont sous le choc d’autant que Robert Salas et la patrouille vont perdre le contact radio sans aucune raison pendant un long moment. Comme si quelque chose était venu brouiller la liaison. Suite à l’incident, Fred Meiwald le commandant de la base fera un rapport à ses supérieurs sur ce qu’il s’est passé ce soir-là. Il n’y aura aucune réaction.C’est le silence radio du côté du Pentagone.

DES TÉMOIGNAGES DE CIVILS

Mais si l’armée décide de cacher cet incident, on sait que le 25 mars 1967, des habitants de la zone de Malmstrom ont eux aussi été les témoins d’observations d’Ovni. Le lendemain matin, plusieurs articles de presse vont rapporter une série d’observations étranges. On va y apprendre que deux pilotes de l’US Air Force ont vu eux aussi un Ovni lors d’un vol d’entrainement. Leur radar aurait détecté d’étranges objets volant au-dessus du quartier général de la base de Malmstrom. Les pilotes en sont certains, il ne s’agissait pas de satellites ou d’avions. Les engins observés avaient des trajectoires étranges, des accélérations fulgurantes et faisaient des arrêts brusques.

UN ÉVÉNEMENT QUI S’ÉTAIT DÉJÀ PRODUIT

 

Si la plupart de ces événements sont connus par l’ensemble des ufologues de la planète, c’est le 27 septembre 2010, sur CNN qui diffuse une conférence de presse donnée par des retraités de l’armée américaine, que l’on apprend que dans les années 1960 de nombreux Ovnis ont survolé différents sites de lancement de missiles nucléaires et que l’incident du 25 mars 1967 ne fut pas le premier. Si le 25 mars 1967, Robert Salas était sur le site de lancement « Oscar » la base en possède un autre du nom de « Echo ». Et celui-ci aurait vécu la même chose 9 jours plus tôt. Au soir du 16 mars 1967,tous les missiles nucléaires furent désactivés de manière totalement inexplicable. Le colonel Figel qui dirigeait à l’époque le site « Echo », va révéler que ce soir-là aussi, un ovni a été vu au-dessus des missiles. À ce jour et malgré son enquête, l’armée est incapable de donner une explication. Le plus effrayant dans toute cette affaire cela reste le fait que si ce sont les extraterrestres qui en sont responsables, ils ont les moyens de faire ce qu’ils veulent avec notre armement, ce qui démontre une technologie hors du commun et encore inconnue sur terre comme le rappelle Robert Salas lui-même dans le replay ici. Il répond aux questions de Egon Kragel.

Bob Bellanca (rédaction btlv.fr)

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