10 avril 2024 – C’est au tour du gouvernement Australien de rendre public les rapports d’observations d’OVNIS. Une publication qui fait suite à une demande de la Freedom of Information Act.
Jusqu’à présent, les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada et la Suède étant parmi les pays à avoir publié des documents relatifs à leurs enquêtes sur le phénomène OVNI ; il était inévitable que d’autres nations commencent à leur emboiter le pas et à divulguer ce qu’ils savent sur le sujet.
RENCONTRES RAPPROCHÉES…MAIS PAS SCIENTIFIQUES
C’est par la voix du ministère de la Défense Australien que le rapport contenant un dossier de 10 pages sur le sujet couvrant des enquêtes et des notes remontant à mai 2023 a été dévoilé. Malgré cette publication, le gouvernement Australien ne semble pas très curieux du phénomène. Selon les responsables, le ministère de la Défense n’a pas de politique régissant le signalement des observations d’OVNIs.
Le rapport complet est disponible ici
A contrario de celle des États-Unis, l’armée de l’air australienne a cessé de traiter les signalements d’OVNIs dès 1996 parce qu’elle n’a trouvé « aucune raison scientifique ou autre raison impérieuse de continuer à les enregistrer ou à enquêter » sur eux, même si elle connaît l’existence de l’AARO (ndlr : All-Domain Anomaly Resolution Office), basé aux États-Unis, et qu’elle suit ses rapports.
Le siège du ministère de la Défense Australien / Crédit photo : Google image
DES ANOMALIES SPATIALES SANS GRAND INTÉRÊT SCIENTIFIQUE
Les autorités savent que plusieurs cas ont été examinés, mais qu’aucune preuve crédible d’activité, de technologie ou d’objets extraterrestres n’a été trouvée.
“La position de l’Air Force continue d’être qu’il n’y a aucune raison scientifique ou autre de détourner des ressources vers l’enregistrement et l’enquête sur des phénomènes aériens non identifiés…Cela aligne les ressources sur les priorités, la mission et l’objectif de la Défense” peut-on lire dans le dossier. Pour ne rien louper de l’actualité OVNIs, inscrivez-vous à la Newsletter btlv.
Bob Bellanca (rédaction btlv)
