20 septembre 2021 — Victime qu’une crise cardiaque, une habitante de Baltimore aux États-Unis, est restée morte pendant près d’une heure, ce qui constitue un véritable record ! Elle a été ramenée à la vie grâce à une réanimation cardio-pulmonaire intensive.
UN CHOC ÉMOTIONNEL ?
Selon CBS , Kathy Patten était sur le terrain de golf lorsqu’elle a reçu un appel et a appris que sa fille, Stacey allait accoucher. La femme s’est rendue immédiatement à l’hôpital pour voir sa fille et c’est en arrivant à la clinique qu’elle a eu une crise cardiaque.
Pendant 45 minutes, Kathy Patten est resté dans un état de mort clinique, plus de battement de cœur, plus de pouls, pas même la moindre respiration. La réanimation cardio-pulmonaire intensive a « ressuscité » la mère, et c’est dans le même hôpital, que sa fille a donné naissance à une petite fille. Un accouchement de 39 heures qui c’est mal commencé, puisqu’elle a du subir une césarienne, mais qui fort heureusement s’est bien terminé.
UN RÉTABLISSEMENT MIRACULEUX
Selon les médias locaux , Kathy Patten s’est complètement rétabli, ce qui est extrêmement rare. Selon une étude de 2018 publiée dans The American Journal of Emergency Medicine , seulement 10,6 % environ des personnes mortes cliniquement sont par la suite sorties de l’hôpital, bien que ces chiffres varient en fonction de la gravité et de la durée de l’incident.
De plus, il est fort probable qu’après un arrêt cardiaque, une personne ne soit pas en mesure de se rétablir complètement et de reprendre une vie normale. La mort clinique est souvent catastrophique pour le cerveau, provoquant des dommages irréversibles.
« C’est finalement à cause de la naissance d’Alora que ma mère est ici et qu’elle se trouve au bon endroit au bon moment », explique Stacey.
« Vous nous avez appris ce que signifie vivre. Vous nous avez appris ce que signifie ne pas abandonner a déclaré le Dr Dov Frankel, l’un des médecins réanimateurs. Que ce soit la médecine moderne ou une puissance supérieure, il y a quelque chose qui guide cette famille.
François Deymier (rédaction btlv.fr)